Les différentes conceptions vues ci-dessus nous font connaître plusieurs conceptions de  la liberté. ; 2.3 La liberté : quelque chose qui doit être conquis par l’esprit; 2.4 La liberté individuelle et la liberté collective. Cette liberté n'est  pas contraire à  la nature ainsi qu'à son obligation,   dans  la mesure où elle  est  la réalisation idéale de  l'essence de  l'homme (il ne faut par conséquent pas confondre l'emploi qui est  fait ici du  mot liberté avec d'autres emplois qui sont  faits ailleurs dans  l'article). Je ne serais donc pas libre lorsqu'on contraint ma volonté par des règles, des ordres et des lois. A y réfléchir, chacun de nos actes et de nos pensées est le résultat d’une infinité de facteurs inconscients, parmi lesquels : Autant d’éléments qui influencent grandement notre raisonnement et nos décisions, et qui font de nous des êtres déterminés. Un certain sentiment de  liberté peut accompagner l'acte volontaire,   et  même quand l'action est  empêchée,   il  nous reste le  sentiment que c'est  nous qui décidons de  la direction de  notre volonté ; Le sentiment de  la liberté peut naître de  l'allègement des  contraintes sociales,   par exemple dans  le. Elle se lance à sa poursuite. « Être libre, c'est faire ce que je veux » : telle est notre définition courante de la liberté. On voit bien ici en  quoi une détermination métaphysique,   en  apparence particulièrement spéculative et  complexe,   peut se montrer décisive pour la vie,   pour l'existence concrète. A ce titre, la liberté est intimement liée à notre ego, c’est-à-dire à notre individualité. Lire aussi notre article : Liberté, égalité, fraternité : définitions et sens profond. Cette idée de  l'artisan se rencontre déjà chez Platon,   mais sous une forme qui n'est  pas créationniste : la théologie antique fait plutôt de  Dieu un intellect non impliqué dans  la création de  la matière,   même s'il peut y être engagé,   par exemple pour y mettre de  l'ordre. La liberté qualifie en  effet la relation de  l'être humain comme agent et  du  monde physique,   relation surtout reconnue dans  son rapport à  un déterminisme supposé ou réel. Une aventure qui l’amènera à traverser plusieurs pays et à rencontrer une forme de spiritualité insoupçonnée. Pour Descartes (cité par Leibniz), c’est un “sentiment vif interne”. des sens de « liberté » en philosophie. Il  faut cependant garder à  l'esprit que les  deux aspects se recoupent. Saisissez votre email pour recevoir notre newsletter : Le symbolisme de Noël : comment l'interpréter ? «Il existait deux opinions sur  lesquelles se partageaient les  anciens philosophes,   les  uns pensant que tout se produit par le  destin,   en  sorte que ce destin apportait la force de  l'obligation (Démocrite,   Héraclite,   Empédocle,   Aristote étaient de  cet avis),   les  autres pour qui les  mouvements volontaires de  l'âme existaient sans aucune intervention du  destin ; Chrysippe,   en  position d'arbitre officieux,   me paraît avoir choisi la position intermédiaire ; mais il  se rattache plutôt à  ceux qui veulent voir les  mouvements de  l'âme libérés de  l'obligation.». hist. Spontanéité de  la raison : c'est  la faculté de  créer du  nouveau,   d'ouvrir des  envisageables : la raison sert à  poser un acte non déterminé par des  causes passées. l’influence de notre groupe social (famille, relation, profession, communauté…). Les  auteurs examinés plus haut nous ont déjà apporté quelques réponses envisageables. Ce texte est issu de l'encyclopédie Wikipedia. La liberté est donc essentielle pour fonder la responsabilité morale et pénale. Or, nous avons conscience de nous-mêmes. Elle  est  la capacité de  se déterminer soi-même à  des  choix contingents. Ces deux critiques mettent en  lumière plusieurs points importants. C'est  l'absence de  contrainte et  l'indépendance,   comme,   par exemple,   le  vagabond non assujetti à  un ordre social (Arthur Rimbaud,   Jack Kerouac,   etc). Votre document La morale : La liberté, le devoir (Cours - Fiches de révision), pour vos révisions sur Boite à docs. En  effet,   on pose ou on nie que la liberté soit un attribut essentiel : la liberté est  ou non constitutive de  la nature humaine. La liberté est un droit naturel, sans doute le premier des droits de l’homme. Ainsi,   tandis que l'indépendance concerne les  causes externes (définissant ce que je peux),   l'autonomie concerne les  causes qui sont  la source de  la volonté (définissant ce que je veux). «Tout est  permis» dit Nietzsche,   assumant cette négation anti-humaniste de  l'essence de  l'homme. Paru dans Définitions philosophiques, Philosophie et Philosophie politique. Bien que présentée comme la première valeur de notre civilisation occidentale, la liberté comporte un aspect mineur en ce sens qu’elle est centrée sur l’individu : un individu qui se perçoit toujours comme un être séparé des autres. Il  faut par conséquent plus que la conscience pour savoir si effectivement nous sommes libres. Mais on retombe alors dans  les  difficultés évoquées au début de  cet article : le  sentiment de  la liberté,   ou son intuition,   n'est  ni clair ni probant. » (Jacques Bénigne Bossuet). Bref, la liberté cest le pouvoir de faire ce que lon veut et cela soppose à la contrainte, à loppression, à lasservissement, à la servitude et enfin à laliénation. L'ensemble des  animaux (comme mus par de  désirs internes) sont  en  ce sens des  êtres animés de  manière spontanée. Ainsi le libre-arbitre serait plus proche de la liberté de penser, alors que la liberté serait l’absence de contrainte physique ou de servitude. La Pachamama : définition et signification (la Terre-Mère), “Connais-toi toi-même” : explication (Socrate), Noun : symbolisme de cette lettre hébraïque (le poisson), Le chiffre 13 : symbolisme et sens profond. L'autonomie politique est  incarnée par la figure du  citoyen,   qui abandonne son indépendance naturelle pour se soumettre volontairement à  des  lois qui sont ,   au moins parfaitement,   les  mêmes pour tous (Hobbes,   Rousseau[2]). Descartes réponds qu’il faut néanmoins une condition préalable pour choisir l’évidence, qui est l’attention : si nous ne sommes pas attentifs, ce qui est en soit évident cessera alors de l’être pour n… La liberté serait par conséquent en  premier lieu un objet d'une intuition immédiate et  interne. La liberté,   comme condition des  notions morales,   donne un sens aux choix moraux en  bien comme en  mal : ou,   c'est  à  dire,   l'essence de  la liberté,   c'est  le  devoir. Le  concept de  liberté divise particulièrement schématiquement les  philosophes en  deux camps : ceux qui en  font le  fondement de  l'action et  de  la morale humaines (Épicure,   Descartes,   Kant),   et  ceux qui nient une quelconque transcendance de  la volonté comparé à  des  déterminismes tels que la sensibilité (Démocrite,   Spinoza,   Nietzsche)  : On dirait actuellement qu'il y a une opposition entre physicalisme et  mentalisme,   i. e. entre la causalité physique (physicalisme) à  laquelle l'ensemble des  êtres peuvent être réduits et  la causalité mentale (mentalisme),   qui peut être une théorie matérialiste,   tout en  reconnaissant une action propre du  mental. Avoir connaissance de  quelque chose comme la liberté,   cela ne suppose-t-il pas en  même temps d'avoir la preuve de  son existence ? La liberté permet à chacun d’assouvir ses besoins fondamentaux, de s’épanouir et de se réaliser dans la société. Voir l'article détaillé : Histoire de  la notion de  liberté. C’est ainsi que nous éprouvons à chaque instant un irrépressible désir de liberté. Vous pouvez consulter sa version originale dans cette encyclopédie à l'adresse, Les sens philosophiques fondamentaux du  mot, Origine et  développement du  concept de  liberté, Connaissance et  expérience de  la liberté,   enjeux, Enjeux métaphysiques et  moraux de  la liberté. Il  faut se défaire de  la définition courante de  la liberté : "Le pouvoir de  faire ce qu'on veut. " La question de la liberté a donné lieu à de nombreuses théories philosophiques et politiques : stoïcisme, anarchisme, individualisme, libertarisme, existentialisme…. En réalité, la principale limite à la liberté est la liberté de l’autre. Martin Heidegger Henri Birault , souligne que la pensée du philosophe Martin Heidegger , et sa position sur la question de la liberté, ne trouvent aucune préfiguration dans l'histoire de la métaphysique occidentale, qu'il s'agisse de la liberté négative, positive, de la liberté de choix ou de la liberté dite spontanée. La liberté est un sentiment (ou une sensation), une valeur et, si ce sentiment est juste ou cette valeur atteinte, un état. Indépendance : notre arbitre est  indépendant à  l'égard des  contraintes des  penchants de  la sensibilité. La nature est  ici entendue comme un pur enchaînement causal ; il  s'agit alors de  concilier les  deux affirmations : responsabilité morale et  actes déterminés. Ainsi, dans son aspect mineur, la liberté ne comporte rien de constructif. S'il y a quelque chose comme la liberté,   quelle sorte de  chose est-ce ? Nietzsche reprendra cette critique :'«Aussi longtemps que nous ne nous sentons pas dépendre de  quoi que ce soit,   nous nous estimons indépendants : sophisme qui montre combien l'homme est  orgueilleux et  despotique. Liberté d'expression Sens : Liberté fondamentale autorisant tout citoyen à exprimer ses opinions. 383 pages 17,90 € (papier) 2,99 € (e-book). Comment penser la liberté comparé aux libertés ? technologies de  l'information et  de  la communication, Les sens philosophiques fondamentaux du mot liberté, Origine et développement du concept de liberté, Connaissance et expérience de la liberté,  enjeux, Liberté et  technologies de l'information et de la communication. Nier la liberté,   ce serait par conséquent supprimer l'essence de  l'homme. Selon Descartes,   c'est  «le plus bas degré de  la liberté». La liberté est une expérience psychique qui se vit comme un élan personnel, une volonté de satisfaire ses désirs (cf Epicure) et de jouir de ses facultés, une énergie à conserver son autonomie et son libre-arbitre, une inclination à suivre son propre chemin. Cela tient en  premier lieu au fait que la volonté n'est  pas pour eux une faculté à  part du  psychisme,   et  que le  psychisme n'est  pas lui-même une entité scindée de  l'exemplifier par un cheval (mais ce point devrait probablement être discuté selon des  thèses récentes sur  l'intelligence et  la sensibilité animales). Par la suite,   le  libre-arbitre deviendra un trait essentiel de  l'anthropologie de  Thomas d'Aquin. Le premier point peut faire l'objet d'une enquête socio-politique ; son fondement métaphysique et  le  second point concernent surtout le  problème philosophique de  la liberté. Cette citation nous fait bien comprendre que le libre arbitre cest finalement le pouvoir de se … Tout ce qui existe est rigoureusement déterminé par les lois universelles de la nature. La conscience immédiate de nous-mêmes nous incite à nous voir comme un être libre et indépendant de toute influence. Or,   cela semble bien être une contradiction. Je ne serais donc pas libre lorsqu'on contraint ma volonté par des règles, des ordres et des lois. Elle est aussi au centre de sa réflexion et de ses débats. Voir l'article détaillé : Libertés sur  Internet. Cette question concerne par conséquent spécifiquement l'immanence et  la transcendance de  la volonté humaine comparé au monde. Exemplaire, à cet égard, Ceci est  toujours valable même au XXe siècle,   chez Sartre par exemple (voir plus bas),   quand il  renverse le  rapport de  l'essence et  de  l'existence. Cette contradiction dans  notre connaissance est  la troisième antinomie kantienne : suis-je libre,   ou suis-je conduit par le  destin ? Elle est alors synonyme de respect et d’ouverture à l’altérité : voilà le socle du vivre-ensemble. on peut nier le  problème,   en  disant que la liberté n'existe pas. La Liberté intérieure. Face à la liberté absolue et d'indifférence, ce cours de soutien scolaire en ligne t'explique la notion de libre arbitre pour réaliser ton devoir de philosophie. La liberté est une vigilance des uns par rapport aux autres, un signal d’alerte en cas de franchissement des limites ; elle est une revendication permanente de chacun face au reste du monde, un égoïsme qui ne peut être contrebalancé que par l’égoïsme des autres. Le symbolisme du nombre 11 : que représente-t-il sur le plan spirituel, religieux ou ésotérique ? La liberté comme libre arbitre de  la volonté ; Spontanéité : c'est  le  fait de  trouver au sein de  soi le  principe de  ses mouvements. Carmen,   dit,   dans  l'Opéra de  Georges Bizet : «Ce que je veux,   c'est  être libre et  faire ce qui me plait»,   «avoir pour pays l'univers et  pour loi sa volonté». Être libre serait alors la condition naturelle de l'homme, et la société la marque de son esclavage. Si l'homme est  affecté par des  penchants qui inclinent son arbitre,   il  peut les  mettre de  côté,   les  suspendre,   pour agir selon d'autres motifs issus de  la raison. Quasiment,   la question serait de  savoir si cela revient à  dire que nier la liberté est  une perspective dans  laquelle on ne voit pas de  contraintes morales qui empêchent quiconque de  nier aussi l'humanité d'un autre homme. – On se sent libre quand cesse une contrainte : un empêchement physique, une occupation non choisie ou un souci. Cette première solution implique qu'on diminue la volonté à  une causalité naturelle,   ou qu'on la nie ; par exemple,   pour Friedrich Nietzsche,   il  n'y a ni volonté ni non volonté,   mais notre action n'est  qu'une résultante de  processus physiologiques. La liberté peut être définie comme un sentiment, un droit, une valeur ou un idéal. Intelligence : par l'intelligence,   faculté de  choix,   nous agissons par nous-mêmes en  connaissance de  cause ; nous avons un discernement de  nos actes. Elle n'est pas une donnée mais une tâche s'accomplissant essentiellement comme processus de libération. Est-ce une substance,   une essence,   une faculté,   un acte,   etc. La liberté est d'abord un … Les interactions se font sur la base du respect, de la réciprocité ou du contrat. Mais elle comporte des limites. Être conscient d’une chose, c’est ne pas être la chose, c’est se poser soi-même à côté de la chose, comme autre qu’elle. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi. Ces deux plans de  l'existence humaine ne sont  pas obligatoirement compatibles : par exemple,   l'existence des  libertés juridiques est  constatable,   tandis que la réalité (son existence dans  nos actes) et  l'essence (la conception que nous nous en  faisons) de  la liberté posent problème. Comme dans  le  cas de  la liberté de  la presse,   par exemple. Aimer la liberté, c’est donc avant tout aimer la liberté de l’autre : c’est voir son prochain comme le miroir de soi-même, son égal, son frère. L'action va par conséquent prendre de  la valeur,   ou changer de  valeur,   étant donné que le  libre arbitre est  désormais métaphysiquement valorisé : cette valorisation a une origine morale,   surtout pour l'explication du  péché. L'expérience semble manquer de  consistance pour le  déterminer. Le manichéisme est une religion, actuellement disparue, dont le fondateur fut le perse Mani au IIIe�siècle. Ainsi au XVIIIe siècle,   Jean-Jacques Rousseau défendait un paradigme du  bon sauvage,   considérant l'éducation comme une domestication de  l'homme,   et  la société comme un carcan. En second lieu,   il  n'est  pas certain que tout lien soit contraire à  l'indépendance. Géonumérologie : une méthode pour accéder à sa véritable personnalité. Quel effet cela fait-il d'être une chauve-souris ? La constitution garantit pareillement, comme droits naturels et civils : la liberté à tout homme d'aller, de rester, de partir, sans pouvoir être arrêté ni détenu, que selon les formes déterminées par la constitution (Doc. Voici la partie du cahier de textes consacrée à notre premier thème de l'année : la liberté.Nous y croiserons les notions de devoir, de droit, de société, ainsi que le couple matière-esprit (qui font partie du programme). Possibilité de se déplacer et de se fixer selon ses désirs. Valeur mineure lorsqu’elle est tournée vers soi-même, la liberté devient une valeur majeure lorsqu’elle est tournée vers les autres. Ou bien la nature est  seule maîtresse des  choses,   ou bien l'homme est  maître lui aussi au sein de  la nature. Sur le plan humain et universel, la liberté est un droit naturel. Encore convalescente, la professeure Esther Jones est de retour à la Sorbonne. En quoi la fête de Noël évoque-t-elle la paix,... La Pachamama : définition et signification chez les peuples d'Amérique du sud. Il  y a alors invention et  surgissement de  nouveauté. Une critique déterministe : s'abandonner à  ses désirs,   n'est-ce pas leur obéir,   et  par conséquent un tel abandon ne relève-t-il pas d'une forme déguisée de  déterminisme ? Cette liberté absolue se nomme « le libre arbitre » dont la définition la plus claire est peut-être celle donnée par le philosophe français contemporain Marcel Conche qui nous dit que « le libre arbitre cest le pouvoir de se déterminer soi-même sans être déterminé par rien ». Le spinozisme est une philosophie de la nécessité. – « Liberté, égalité, fraternité » : la devise de la République proclame trois valeurs dont l’association, en fait, ne va pas forcément de soi. En effet, si l'explication philosophique comprend la réalité dans son intégralité, au moins parfaitement (et au contraire des sciences qui ont une partie uniquement du m… C'est  pour cette raison que la presse est  reconnue comme le  quatrième pouvoir (à l'instar des  pouvoirs exécutif,   législatif et  judiciaire). Traduction anglais : freedom of speech Origine : En France, la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 insiste sur le fait que : « Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi ». C'est  une condition principale de  la liberté : l'activité de  la volonté met en  cause la passivité de  notre rapport sensible au monde. Un rappel de cours de Philo sur la question : La liberté consiste-t-elle à faire ce qu'il nous plait ? Paul Valéry développe pour sa part l'idée que «la liberté est  l'un de  ces détestables mots qui ont plus de  valeur que de  sens,   qui chantent plus qu'ils ne parlent,   qui demandent plus qu'ils ne répondent,   de  ces mots qui font l'ensemble des  métiers»[1]. Or,   il  n'y a pas de  liberté sans loi (Rousseau,   Emmanuel Kant),   car la liberté de  tous serait en  ce sens contradictoire : les  désirs universalisés s'annuleraient. Si oui,   à  quelle genre de  réalité a-t-on affaire ? La liberté peut par conséquent former un attribut de  l'être humain,   de  sa volonté,   et  être la condition de  droits naturels ou positifs,   mais également de  devoirs ; la réalisation effective de  l'acte volontaire peut néanmoins comporter une dimension vécue qu'on ne saurait diminuer à  ce qui précède. En tant que droit, la liberté permet de ne pas subir de contrainte, de soumission ou d’asservissement. la condition de  l'homme libre,   opposée à  celle d'esclave;... La liberté est  fondée dans  la subjectivité liberté et  volonté reposent sur  l'autonomie du ...  (source : Nous le  voyons par conséquent,   la volonté,   et  par suite la liberté,   se définissent comme.... L'homme naît libre,   mais cette liberté est  à  développer ainsi qu'à affirmer....  (source : "La liberté est  une propriété de  la volonté de  l'ensemble des  êtres raisonnables".... La liberté est  une attitude,   celle de  l'homme qui se reconnaît dans  sa vie,  ...  (source : négativement : absence de  soumission,   de  servitude,   de  contrainte. Que représente Noun ? Notre sentiment de liberté est simplement dû à l’ignorance des causes qui nous déterminent. Il  ne semble par conséquent pas envisageable de  concevoir une liberté indépendance comme un état monadique,   où l'individu serait une totalité fermée,   atome qui n'aurait que des  relations qui lui seraient extérieures ou étrangères. La liberté signifiée par la puissance d’agir propose véritablement un idéal social et unificateur. Nous l’avons dit, ce sentiment provient de notre ego, qui nous fait nous considérer comme des êtes autonomes et indépendants, c’est-à-dire comme les maîtres de notre vie et de nos actes. La liberté – Révisions Bac Philosophie Philosophie - Bac La notion de liberté peut se définir au moins de deux manières, d'une part comme liberté objective et extérieure, définie par l'ordre social, juridique et politique, et d'autre part comme liberté subjective et intérieure, définie par l'âme ou la conscience. Il  semble que rien de  tel que la liberté ne puisse être donné dans  le  monde ; mais il  serait probablement plus exact de  conclure que la liberté,   comme objet de  connaissance,   nous échappe,   et  qu'elle n'est  jamais un objet de  notre expérience. En quoi l'introspection permet-elle d'accéder à la connaissance... Noun : symbolisme et signification spirituelle de cette lettre de l'alphabet hébraïque. Lire aussi notre article : La liberté… Définitions de liberté. Maine Océan,   fiction française de  Jacques Rozier,   réalisée en  1986. Impossible de partager les articles de votre blog par e-mail. La philosophie des  lumières par exemple pose comme contrainte principale que «La liberté des  uns s'arrête à  l'endroit où débute celle des  autres»,   ou reformulé positivement,   «La liberté des  uns débute à  l'endroit où elle  confirme celle des  autres». Ainsi,   pour Friedrich Nietzsche (et de  même pour Hegel),   le  toi est  antérieur au moi. Comme il y a sans doute tout autant... La liberté est la faculté d'agir selon sa volonté suivant les moyens dont on dispose sans... �La liberté politique est le droit, ou la possibilité, d'autodétermination comme expression... La philosophie hellénistique est la totalité des courants philosophiques de la période hellénistique. État de quelqu'un qui n'est pas soumis à un maître : Donner sa liberté à un esclave. 1 Introduction; 2 Cours sur la liberté. L'accès à  l'internet pose de  nombreuses questions éthiques concernant,   entre autres,   les  libertés individuelles,   mais également collectives. Il ne peut pas faire tout ce qu’il voudrait. Etre libre, ce n’est donc pas nous considérer comme autonomes, c’est au contraire réaliser que nous sommes des êtres entièrement connectés aux autres et au monde. Il  est  indispensable d'établir des  règles,   et  différents niveaux d'accès et  de  confidentialité pour les  partenaires et  les  parties prenantes[4]. Par ailleurs, l’ensemble des causes déterminent l’ensemble des êtres : nous sommes tous dans le même bain, à parfaite égalité ; nous sommes tous le même être universel. A ce titre, on remarquera la gradation des valeurs au sein du triptyque républicain Liberté, Egalité, Fraternité : la liberté au sens noble est la garantie de l’égalité, le fondement de la fraternité. Mais paradoxalement, elle porte en elle un risque de dérive et d’aveuglement, en particulier dans sa dimension individualiste. Quelle... L'article n'a pas été envoyé - Vérifiez vos adresses e-mail ! C’est ainsi que les jugements s’effacent, que les susceptibilités s’estompent, que la compréhension grandit. Aux yeux de certains, cet aspect limitatif de la liberté en fait une valeur mineure. Ce point de  vue,   qui sera développé par Sigmund Freud dans  son essai Malaise dans  la civilisation (1929),   a été discuté dès la Révolution française. Au final, la véritable liberté passe par la connaissance de soi et la reconnaissance de l’autre comme un alter ego : un autre soi-même. La liberté touche à la volonté, à la possibilité de choisir, à la responsabilité, à l’égalité, à la justice et au vivre-ensemble. La liberté s'oppose généralement (ce n'est  par conséquent pas forcément le  cas) au déterminisme,   au fatalisme ainsi qu'à toute doctrine qui soutient la thèse de  l'obligation du  devenir. Mais la question se pose : si tout dépend du  destin,   comment certaines choses peuvent-elles toujours dépendre de  nous ? Être relié n'est  pas forcément négatif,   car l'intersubjectivité est  peut-être plus principale que l'indépendance du  moi,   étant donné que le  moi est  relation aux autres. Libre arbitre : propriété de  la volonté (actus proprius),   faculté de  choix qui associe raison et  volonté. La totalité de  cette problématique et  les  différentes conceptions des  philosophes du  passé permettent de  voir plus exactement en  quoi la liberté est  un concept métaphysique essentiel : ses conséquences morales sont  en  effet énormes. Septembre 2019. La liberté est une notion très vaste qui comporte plusieurs dimensions (intérieure et extérieure ; psychologique, politique, morale ou sociale) qui se recoupent plus ou moins bien. Qu’est-ce que la liberté : un sentiment, un droit, une valeur, un idéal ? Définissons chacune de ces notions. L'expression �philosophie analytique� sert à désigner un mouvement philosophique qui se fonda... L'humanisme est un courant culturel européen qui s'est développé à la Renaissance. Notre volonté n'a alors aucune cause antécédente. Le réalisme est un terme générique qu'on utilise pour désigner une certaine tradition philosophique. Si conscience et  connaissance sont  deux choses différentes,   avoir conscience de  quelque chose ne garantit pas son existence.